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Nexity : les tendances du marché immobilier à ne pas manquer cette année

En bref

  • 🏦 Nexity ouvre un nouveau chapitre avec l’entrée en négociations exclusives d’un consortium Crédit Agricole Assurances–AXA.
  • 📉 Le marché immobilier reste tendu: transactions en recul, permis de construire en forte baisse, crédit plus rare.
  • 🏗️ Le logement neuf s’ajuste: fin du Pinel, mais reprise des accédants soutenue par l’extension du PTZ.
  • 🌱 Le développement durable et l’urbanisme adaptatif imposent des chantiers plus innovants et exigeants.
  • 📊 Les tendances immobilières 2025 se lisent à travers l’évolution des prix, la raréfaction du foncier et les coûts de construction.
  • 💡 Le financement immobilier se réinvente: mix de prêts, subventions locales, dispositifs employeurs et investisseurs institutionnels.

Le paysage immobilier français vit une recomposition accélérée. L’annonce d’un projet d’acquisition majoritaire de Nexity par Crédit Agricole Assurances et AXA bouscule un acteur clé, alors que les volumes de transactions se tassent et que le crédit se resserre. Les investisseurs observent une phase de transition où chaque décision stratégique peut déplacer l’équilibre d’un secteur déjà éprouvé. Les ménages s’interrogent sur l’évolution des prix et sur la disponibilité du logement neuf, tandis que les professionnels réajustent leurs portefeuilles vers des offres plus ciblées et plus sobres énergétiquement.

Pourtant, des signaux positifs émergent. Les réservations d’accédants progressent chez Nexity, soutenues par l’extension du PTZ et des offres calibrées au pouvoir d’achat. L’immobilier résidentiel ne s’effondre pas; il se transforme. Entre urbanisme tactique, innovations de chantier et nouvelles modalités de financement immobilier, les acteurs agiles reprennent l’initiative. Dans ce contexte, les tendances immobilières 2025 s’évaluent à l’aune de la rentabilité durable, de la maîtrise des délais et de la confiance restaurée avec les clients.

Points clés 2025 : Nexity et tendances immobilières à surveiller

Le cycle actuel impose d’analyser quatre axes structurants: gouvernance et capital, performance commerciale, qualité du pipeline de logement neuf, et trajectoire financière. Ces axes expliquent la capacité d’un promoteur à traverser une conjoncture exigeante. Ils permettent aussi aux ménages et aux investisseurs d’anticiper le bon moment pour s’engager.

D’abord, la gouvernance. L’entrée en négociations exclusives d’un consortium mené par Crédit Agricole Assurances et AXA introduit un actionnariat d’envergure. Cette assise capitalistique peut accélérer la consolidation du marché immobilier. Elle peut aussi sécuriser le financement de projets, dans un contexte où les banques filtrent davantage les dossiers. La question d’une augmentation de capital revient, logique au vu des résultats passés. Les marchés attendent des preuves tangibles d’exécution.

Ensuite, la performance commerciale. Entre janvier et fin septembre, Nexity totalise plus de 7 000 réservations, dont près de 2 000 accédants (soit 28% du mix), en hausse d’environ 26%. Cette dynamique compense en partie la faiblesse du segment investisseurs après la fin du Pinel, lequel recule d’environ 45%. Ce basculement illustre un arbitrage clair: l’immobilier résidentiel se recentre sur l’usage. Le marché du détail baisse d’environ 9%, mais la résilience des accédants soutient la base commerciale.

Troisième axe, l’offre. Avec environ 5 100 lots mis sur le marché et un délai d’écoulement proche de cinq mois, comparable à 2019, le risque d’invendus reste contenu. Cette métrique rassure sur la liquidité opérationnelle. Cependant, les permis de construire en chute et la hausse des coûts de construction tendent le pipeline. Le pilotage fin des lancements devient stratégique, surtout dans les zones tendues où l’urbanisme impose des exigences accrues.

Quatrième axe, la trajectoire financière. Le chiffre d’affaires sur neuf mois avoisine 1,932 Md€. Les activités d’exploitation progressent d’environ 13% grâce à des taux d’occupation élevés, tandis que la promotion et l’aménagement reculent d’environ 20%, après des livraisons importantes l’an passé. La cession d’Accessite finalisée début octobre recentre l’entreprise sur ses métiers cœur. Les perspectives évoquent un retour à une profitabilité opérationnelle et un endettement net inférieur à 380 M€. Cette discipline financière est déterminante pour rassurer les partenaires.

Pour illustrer, prenons Emma et Karim, accédants franciliens. Leur budget a été rogné par la hausse des taux, mais l’extension du PTZ et une offre plus compacte les rapprochent de la signature. À l’inverse, un investisseur privé qui comptait sur une défiscalisation type Pinel arbitre désormais vers des stratégies meublées ou vers des foncières cotées. Ces décisions individuelles, démultipliées, orientent les tendances immobilières de l’année.

Au total, la recomposition capitalistique, la reprise des accédants, un pilotage d’offre rigoureux et une discipline financière stricte dessinent une trajectoire crédible. Le signal clé reste la confiance, condition indispensable pour relancer l’investissement immobilier.

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Rachat de Nexity par Crédit Agricole Assurances et AXA : conséquences pour l’investissement immobilier

Le projet d’acquisition majoritaire crée un effet de palier dans la filière. La présence d’assureurs de premier plan promet une vision long terme, plus compatible avec le temps d’un projet immobilier. Les chocs conjoncturels se gèrent mieux avec des bilans solides. Cette perspective bénéficie aux acquéreurs finaux comme aux partenaires industriels.

Pour autant, la période de transition demeure sensible. En février, la publication de comptes déficitaires, marqués par une perte supérieure à cent millions d’euros, a déclenché une chute de l’action. En mars, des discussions s’ouvrent avec plusieurs fonds internationaux. En avril, la perspective d’un plan de sauvegarde de l’emploi s’invite dans le débat. Ces étapes soulignent un double enjeu: rétablir la confiance des marchés et protéger les talents clés.

Que change ce rachat pour l’investissement immobilier? D’abord, une possible baisse de la prime de risque perçue sur certains projets, si l’assise capitalistique rassure les prêteurs. Ensuite, un meilleur accès à des volumes de financement flexibles, utiles pour lancer des opérations pilotes bas carbone. Enfin, une gouvernance plus intégrée entre financement, promotion et gestion d’actifs créerait des arbitrages plus rapides.

Les concurrents historiques, tels que Bouygues Immobilier, Vinci Immobilier ou Altarea, analysent cette recomposition. Les grands fonds internationaux, de leur côté, guettent les opportunités. Cette recomposition du marché immobilier pourrait aboutir à des alliances ciblées, voire à des partenariats public-privé renforcés sur des sites stratégiques. La vigilance du régulateur restera élevée pour préserver la concurrence.

Côté terrain, le collectif “Atelier Nova”, groupement d’architectes et d’ingénieurs, a vécu des retards d’instruction sur deux opérations mixtes. Avec une signature d’actionnaires plus lisible, leurs banques projet doutent moins. Les honoraires redeviennent planifiables. Ce micro-récit montre comment la macro-gouvernance redescend vite sur les chantiers.

Les clients livrés en 2024 redoutent des retards de SAV. Une feuille de route claire, assortie d’indicateurs publics de qualité, serait un signal fort. Transparence et délais tenus consolideraient la marque dans une année encore heurtée.

Au final, l’opération n’est pas qu’un événement capitalistique. Elle redessine les circuits de financement, la gouvernance des risques et la vitesse d’exécution. La capacité à prouver, trimestre après trimestre, que les livraisons et la satisfaction client s’améliorent fera foi.

Évolution des prix et logement neuf : lecture fine du marché résidentiel

L’évolution des prix s’observe à plusieurs niveaux. Les zones tendues enregistrent des ajustements limités, portés par la pénurie de foncier et une demande structurelle. Les secteurs moins denses voient des corrections plus nettes, liées à la solvabilisation des ménages. Le neuf, lui, subit la hausse des coûts de construction, des normes environnementales plus strictes et des délais prolongés.

La fin du Pinel a refroidi les investisseurs particuliers, dont les volumes ont chuté d’environ 45%. En contrepartie, les accédants reviennent, épaulés par des prix plus souples sur certains programmes et par le PTZ. Cette bascule réoriente le design des logements: surfaces optimisées, prestations sobres mais durables, espaces partagés mieux pensés. L’immobilier résidentiel se recentre sur l’usage et la faible empreinte énergétique.

Pour clarifier les tendances, voici un tableau synthétique par segment, utile aux ménages comme aux investisseurs.

Segment 🧭 Tendance de prix 📈 Demande 📊 Signal stratégique 💡
Zones très tendues Stable à -3% Forte sur T2/T3 Focus sur efficacité énergétique 🌱
Périphéries dynamiques -5% à -8% Accédants en hausse Arbitrer entre neuf et récent 🏘️
Villes moyennes -2% à -6% Hétérogène Chercher les quartiers réhabilités 🛠️
Neuf RT/RE dernière génération Prime de 5-10% Soutenue Économies d’énergie long terme ⚡

La famille Martin, qui visait un T4 en première couronne, a finalement opté pour un T3 neuf très performant, avec un espace partagé pour télétravailler. Le coût facial est similaire au T4 ancien, mais les charges et les consommations diminuent nettement. Ce calcul global devient la norme: coût d’usage et confort priment sur la seule surface.

Les promoteurs, dont Nexity, ajustent les lancements. Ils priorisent les opérations à absorption rapide et renforcent la préfabrication pour sécuriser les délais. Les collectivités, de leur côté, favorisent la densification raisonnée autour des gares et la reconversion de friches. Cet urbanisme opérationnel fluidifie le pipeline de logement neuf sans étendre la ville.

La clé de lecture pour 2025: arbitrer entre valeur d’usage, performance énergétique et liquidité à la revente. Un acheteur patient, bien financé, peut sécuriser un bon prix sur des programmes ciblés.

Financement immobilier : PTZ élargi, crédit sélectif et montages gagnants

Le nerf de la guerre reste le financement immobilier. Les banques sélectionnent davantage les dossiers, exigent des taux d’effort maîtrisés et valorisent les revenus stables. Toutefois, plusieurs dispositifs permettent de recomposer un plan de financement robuste, surtout pour les accédants.

Premier pilier: le PTZ élargi. Son extension renforce la capacité d’achat, notamment sur le neuf et certains logements anciens réhabilités. Les simulations montrent un effet de levier marqué lorsque l’apport initial est modeste. Les ménages doivent optimiser la durée et la répartition des lignes, en veillant au coût total du crédit.

Deuxième pilier: les aides locales. Plusieurs métropoles proposent des subventions ciblées ou des prêts bonifiés pour les primo-accédants ou pour les projets bas carbone. Ces aides, bien combinées, réduisent la mensualité de manière tangible. Un conseiller averti coordonne ces dispositifs pour éviter les chevauchements.

Troisième pilier: les montages innovants. Le bail réel solidaire, la nue-propriété temporaire, ou encore les dispositifs employeurs (aides à la mobilité, prêts à taux préférentiels) complètent efficacement un plan classique. Les investisseurs institutionnels, sensibles aux critères ESG, financent aussi des résidences performantes, ce qui fluidifie certains lancements.

  • 🧮 À faire : comparer au moins trois offres de prêt et demander une délégation d’assurance.
  • 🧾 À vérifier : l’échéancier de livraison et les pénalités de retard dans le contrat.
  • 🛡️ À sécuriser : une marge de trésorerie pour absorber une hausse de charges ou d’énergie.

Cas pratique: Sofia, infirmière, vise un T2 neuf en ville moyenne. Son montage combine PTZ, prêt principal sur 25 ans, aide municipale et prêt employeur. Résultat, une mensualité soutenable, compensée par de faibles charges grâce à une isolation performante. La solvabilité réelle ne se lit pas qu’au taux facial; elle s’évalue sur le coût global de possession.

Pour un investisseur, la fin du Pinel incite à des stratégies orientées rendement net: colocation organisée, meublé avec services, ou achat en bloc via des véhicules collectifs. Les foncières évoluant vers des actifs résidentiels durables offrent une alternative liquide, utile pour diversifier un portefeuille.

Conclusion opérationnelle: un plan de financement modulaire, adossé à des économies d’énergie vérifiables, restaure la capacité d’achat et rassure les prêteurs. La rigueur documentaire fait gagner des mois.

Urbanisme et développement durable : nouvelles règles du jeu et opportunités

Le développement durable est devenu le cadre stratégique, pas un supplément d’âme. Les normes récentes orientent la conception vers la sobriété, l’empreinte carbone réduite et la réversibilité des usages. Les coûts initiaux montent, mais le coût de cycle de vie baisse grâce aux économies d’exploitation. Les utilisateurs réclament du confort d’été, de la lumière et des matériaux sains.

Les villes accélèrent l’urbanisme de projet. Favoriser la transformation de bureaux en logements, convertir des friches en quartiers mixtes, densifier autour des mobilités sobres: ces leviers s’imposent. Les permis restent compliqués, mais des circuits fast-track émergent sur les projets exemplaires. Les opérateurs qui maîtrisent ces codes gagnent du temps.

Sur chantier, la préfabrication 2D/3D et le bois-hybride se généralisent. Ces méthodes limitent les nuisances, raccourcissent la durée et fiabilisent la qualité. Elles exigent une ingénierie amont plus poussée et des partenaires bien coordonnés. Les chaînes d’approvisionnement locales réduisent les aléas et améliorent le bilan carbone.

Exemple: le programme “Jardin des Quais” transforme un ancien site logistique en écoquartier. Mixité des usages, gestion des eaux pluviales à ciel ouvert, toitures solaires et espaces communs modulables. Le succès commercial tient à la qualité d’usage, visible dès la visite. Le premium se justifie par des charges basses et une valeur de revente plus résiliente.

Pour Nexity et ses pairs, l’enjeu consiste à articuler réglementation, industrie et attentes clients. Un label exigeant, des garanties de performance mesurables et une gouvernance claire des chantiers rassurent. Les partenaires publics exigent des engagements vérifiables. Les investisseurs, eux, veulent des KPI ESG publiés et audités.

L’opportunité est nette: le neuf performant conserve une prime, parce qu’il réduit l’empreinte et stabilise les coûts sur la durée. La rentabilité vient de la qualité d’exécution, pas du volume seul. C’est le véritable avantage compétitif de l’année.

Le rachat de Nexity va-t-il faire baisser les prix des logements ?

Pas directement. L’opération vise surtout la stabilité financière et la capacité d’exécuter les projets. Les prix dépendent de l’offre locale, des coûts de construction et du crédit. Une meilleure visibilité peut toutefois fluidifier les lancements et limiter les retards, ce qui stabilise les prix.

Le PTZ suffit-il pour redevenir solvable en 2025 ?

Le PTZ améliore la capacité d’achat, surtout pour les accédants. Il doit être combiné à une offre bien calibrée, à des aides locales et à une assurance négociée. La solvabilité réelle se juge au coût d’usage, charges incluses.

Comment investir sans le dispositif Pinel ?

Il existe des options: meublé optimisé, colocation encadrée, nue-propriété temporaire, ou véhicules collectifs orientés résidentiel durable. L’essentiel est d’arbitrer entre rendement net, risque locatif et liquidité.

Les chantiers en cours chez Nexity risquent-ils des retards ?

La période de transition accroît l’attention sur les délais. La présence d’actionnaires solides et un pilotage serré des approvisionnements visent à sécuriser les livraisons. Les indicateurs publics de qualité et de délai sont déterminants pour la confiance.

Où trouver les meilleures opportunités en logement neuf ?

Les secteurs connectés aux transports, les quartiers en reconversion et les programmes très performants énergétiquement offrent les meilleures perspectives de revente. Comparer le coût total de possession reste la méthode la plus fiable.

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